Le meilleur de la pâtisserie bretonne est sur Tempête de l’Ouest avec les gâteaux et spécialités culinaires emblématique de notre gastronomie bretonne que ce sont le Kouign Amann et le Gâteau Breton ! Si vous désirez acheter un kouign amann ou gâteau breton artisanal de qualité, fraîchement préparé par nos artisans bretons et vous régaler les papilles ou offrir ces desserts bretons à un proche, vous êtes au bon endroit !
Commençons les présentations avec le si délicieux Kouign Aman qui doit sa création à Yves-René Scordia, boulanger-pâtissier breton de Douarnenez en 1860 : alors que la farine n’était pas très abondante sur les étals et que le beurre était quant à lui foisonnant, il eu alors l’idée de réaliser une pâtisserie dans des proportions assez inédites où le beurre était très dominant. Il n’était alors pas satisfait de la cuisson obtenue mais décida quand même de la faire cuire pour éviter le gaspillage. Et quelle ne fut pas sa surprise en découvrant un gâteau assez compact mais ô combien délicieux, à la fois feuilleté, caramélisé et avec un mélange beurre/sucre dégoulinant ! Un jeu de texture croustillant à l’extérieur et fondant dedans qui ne manquera pas de faire saliver les clients qui arrivèrent alors nombreux et qui rencontre encore aujourd’hui un succès international, du Japon jusqu’aux Etat-Unis !
Mais dans tout cela, qu’est-ce que ça veut dire kouign amann ? Vous devriez maintenant y voir plus clair ! Kouign en Breton signifie tout simple Gâteau et Amann le beurre, et donc littéralement : Gâteau au beurre !
Et comment mange t-on le Kouign amann ? Indispensablement tiède et au préalablement réchauffé au four ! Passez le 5 à 10 minutes à 200° et cela suffira pour obtenir ce petit côté croustillant à l’extérieur et, grâce au beurre fondu, ce côté moelleux à l’intérieur. Donc, ne mangez jamais votre kouign amann froid !
Intéressons nous maintenant à son compère le sobrement nommé Gâteau breton et ses origines : quittons Douarnenez et partons du côté de Lorient, dans le Morbihan. Dans les années 1860, le pâtissier Jean Crucer, aurait concocté une pâtisserie sous le nom de gâteau Lorientais. Fier de ce gâteau rond et moelleux à la croute dorée, présenté avec des losanges dessinés à la fourchette, riche en beurre demi-sel et à la texture friable rappellant son cousin le palet breton (biscuit), il l’a alors présenté à l’Exposition universelle de Paris en 1867 et remporta le premier prix dans sa catégorie ! Succès garanti puisque le gâteau fut écoulé comme des petits pains. Sa conservation étant relativement longue par rapport à d’autres pâtisseries lorsqu’il est stocké à l’abri de la lumière et de l’humidité, ce sont les marins bretons qui apprécièrent aussi cette pâtisserie dite sèche qui avait aussi l’avantage d’être bien nourrissante.